Depuis cette décennie, le changement climatique est une situation récurrente. Il convient de prendre des mesures radicales pour préserver l’environnement. A cet effet, l’agriculture responsable contribue à la protection de l’environnement. Voici les éléments essentiels sur l’agriculture responsable.
Agriculture responsable : le compromis entre l’environnement et productivité
En France, la mise en œuvre de l’agriculture responsable est décrétée vers les années 2000. L’agriculture raisonnée consiste à optimiser la gestion de l’exploitation agricole afin d’entraver l’impact sur l’environnement. Ce concept permet de maîtriser la qualité sanitaire des produits. Ce mode d’agriculture priorise le respect des animaux et de la santé du consommateur. L’agriculture durable concerne divers produits. C’est le cas de la culture vivriers, maraîchers ou fruits.
Comme tous les secteurs d’activités, l’agriculture est destinée à être rentable pour l’instigateur. Parfois, la maximisation des récoltes pénalise l’environnement. A titre d’exemple, le recours excessif aux engrais affecte la fertilité des champs sur le long terme. Les produits chimiques ont tendance à nuire au système écologique. L'Engrais organiques est une issue très avantageuse. Ce type d’engrais revive le sol.
La loi impose une approche rationnelle pour les agriculteurs. L’autorité publique a institué un référentiel pour uniformiser l’agriculture. Dorénavant, les pratiques agricoles et les moyens techniques doivent se conformer à ces impératifs. L’agriculture responsable est un parfait équilibre entre le respect de l’environnement et la production. Elle cherche le compromis entre les dilemmes suivants, les contraintes relatives aux normes environnementales et l’objectif de productivité.
Agriculture responsable : un référentiel pour la préservation des faunes et flores
L’agriculture responsable répond à certains nombres critères. Il existe un cahier de charge à respecter par les agriculteurs. A cet effet, les pratiquants de ce concept sont dotés d’un label octroyé par le ministère de l’agriculture. Parfois, les certificateurs habilités contrôlent l’application de l’agriculture responsable. Les contrôleurs veillent au respect du cahier de charges.
L’agriculture durable contient un volet micro-économique. Concrètement, elle considère le bien-être de l’exploitation et salarié. Tous les acteurs ont droit à l’accès aux informations. Le savoir-faire des personnels permet d’optimiser le rendement et de préserver l’environnement. Comme l’exploitant, les travailleurs sont dispensés des formations pertinentes. L’exploitant doit évaluer chaque risque encouru par ses employés. L’employeur est tenu d’effacer ses dangers. L’équipement de protection individuelle ou EPI est un dispositif de sécurité impérieux.
L’agriculture écologique préconise l’enregistrement des opérations effectuées. Ce suivi permet d’avoir un aperçu sur l’ensemble du processus. Il s’agit d’enregistrer les produits indispensables aux animaux et aux cultures. Parmi les principes de base figurent la mise en relief des intrants agricoles. Ces derniers doivent être utilisés à bon escient. L’objectif est de minimiser les déchets d’exploitation et les effluents. Il convient bien de choisir les équipements à utiliser.
Agriculture responsable : favorable à un écosystème sain
Face aux problèmes courants de l’agriculture, les professionnels du métier recourt à divers moyens de protection. Ce fut l’exemple des pesticides. L’agriculture raisonnée prône l’usage rationnel des moyens de protection des cultures et ceux de la santé des bétails. Il convient d’opter pour le meilleur produit phytosanitaire. De plus, l’alimentation des animaux doit être scrupuleusement étudiée. Cela contribue à l’amélioration du bien-être des animaux. L’agriculture moderne impose la protection de la diversité biologique et des paysages. L’exploitation agricole ne doit pas nuire à son entourage. A cause de l’augmentation des températures, l’eau devient une ressource épuisable. La gestion équilibrée et économe des ressources en eau sont inévitables.
A côté du traditionnel l’agriculture intensive, l’agriculture extensive permet de préserver la biodiversité. La culture en ville ou l’hydroponie intervient à la rescousse de l’agriculture moderne. Cette alternative est à la portée de tous. Les semences de qualité fournissent des récoltes saine et forte. Les semences agricoles hybrides favorisent l’autosuffisance. Les semences améliorées accroissent la productivité des cultures céréalières.